Halte aux impostures!
Mes amis, l'heure est grave!
Un journaliste use depuis quelques jours de ses talents - modestes - de plume, pour caricaturer ma pensée et regler leurs comptes à toutes les personnes de droite ou de gauche qui lui déplaisent dans l'appareil politique.
Apres avoir ete au dessus des partis entre 1981 et 1995, je suis aujourd'hui et depuis ma mort bien loin de ce constat dressé par ce personnage, et que les faits invalide. Pourquoi voudrais-je revenir a ce niveau?
Depuis que la faucheuse a fait son oeuvre, nous avons vécu dans notre pays un évenement qui a mis en peril mon plus grand heritage! Comment pourrais-je depuis mon outre tombe defendre comme je l'ai lu celui qui a été le héraut des assassins de l'Europe? Il a certes été un jeune et brillant premier ministre sous mon autorité, mais ce qu'il est devenu est honteux... Les lignes ont changées mes amis, et tout vaut mieux que cette gauche la, celle des sectaires, qui a pu parfois devenir aussi clanique en ses cercles que la droite des annes 1970-80...
J'ai l'intention de donner ici quelques explications et réponses dans les prochains jours à ce mauvais plaisant qui oublie l'essentiel, me verrait prêt à absoudre les gaffes de Ségolene et ose comparer la strategie politique de M. Bayrou à la mienne! Moi qui ait toujours cherché à unir avant le premier tour, quand lui pose comme espoir illusoire un rassemblement hypothétique une fois élu...
Quelqu'un enfin qui me fait attaquer dans des termes aussi durs le candidat de la droite républicaine alors même qu'il n'est pas sans defauts (loin de là!), mais bien loin des caricatures que je lis ici où la, et en tout cas moins dangereux pour la France que ne l'a été Jacques Chirac, dont je ne pouvais penser que le bilan, de l'Iraq au Referendum eusse pu être si desastreux... C'est d'ailleurs le principal avantage de Nicolas Sarkozy, de s'être opposé, fermement aux lubies de celui qu'on pourra enfin appeler l'ancien Président, et qui en choisissant Pierre Péan comme biographe a réussi le prodige d'invalider le bien que ce journaliste avait dit de moi à l'époque!